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30/08/2018

L'EVANGILE FAIT SIGNE : 1500 TWITHOMELIES POUR MEDITER LA PAROLE - HERVE GIRAUD ARCHEVÊQUE DE SENS-AUXERRE ET PRELAT DE LA MISSION DE FRANCE

Hervé Giraud 
L'Evangile fait signe
Mini-homélies en 140 signes !

L'evangile fait signe

Depuis 2011, dans l’esprit de la constitution Dei Verbum de Vatican II, je propose quotidiennement sur Twitter une phrase de l’Évangile du jour avec une courte homélie, le tout en 140 caractères. Ainsi, comme un follower, un suiveur de la Parole, un familier de l’évangile, je m’engage toujours davantage dans ma mission fondamentale d’annonce de la Parole de Dieu, jusque dans les aréopages numériques. Le pape Benoît XVI n’écrivait-il pas: “Dans la substance de brefs messages, souvent pas plus longs qu’un verset biblique, on peut exprimer des pensées profondes à condition que personne ne néglige le soin de cultiver sa propre intériorité” ?

Puissent ces mille et une twitthomélies aider chacun à vivre l’affirmation du psalmiste : “Déchiffrer ta parole illumine...” (Ps 118,130) et qu’ainsi la Parole de Dieu se répande sur les fils de la toile.

Mgr Hervé GIRAUD Ordonné prêtre en 1985, Mgr Hervé Giraud est titulaire d'un DEUG en mathématiques, d'une licence canonique de théologie morale à l’Université pontificale grégorienne à Rome et d'un DEA de théologie morale à l’Institut catholique de Paris. Ancien évêque de Soissons, il est actuellement évêque de Sens-Auxerre et Prélat de la Mission de France.

Editions Parole et Silence

29/08/2018

CMDF- REVOLUTION NUMERIQUE ET RESPONSABILITE DES LAÏCS - LES NOUVEAUX DEFITS DE LA MISSION DE FRANCE

    

Entretien réalisé par Cyprien Viet – Cité du Vatican 29 AOÛT 2018

La Mission de France, qui a accompagné l’expérience des prêtres au travail depuis les années 1940, évolue pour mieux intégrer les laïcs dans une logique de « co-responsabilité missionnaire ».

Témoigner de l’Évangile dans le monde du travail : c’est ce que vivent depuis plus de 75 ans les membres de la Mission de France.
D’abord liée à l’émergence des prêtres-ouvriers dans les années 1940, la Mission de France s’est transformée au fil des années, pour devenir aujourd’hui un mouvement associant prêtres, diacres et laïcs dans une logique de «co-responsabilité missionnaire».
Actuellement, une centaine de prêtres et une vingtaine de diacres en font partie, mais 600 laïcs en sont aussi des membres actifs, ce qui pousse Mgr Hervé Giraud, archevêque de Sens-Auxerre et prélat de la Mission de France, à travailler en relation avec la conférence des évêques de France et avec le Saint-Siège sur une évolution progressive des statuts canoniques de la Mission de France, qui est une prélature territoriale depuis 1954.

Une déléguée générale pour encourager la responsabilité missionnaire des laïcs
Dans cette dynamique, la Mission de France dispose désormais depuis cet été d’une déléguée générale, Anne Soncarrieu, qui était déjà la chancelière de la Prélature. Cette professeur de technologie dans l’enseignement public, qui possède un master en théologie de l’Institut Catholique de Paris, sera aux côtés du vicaire général pour la gouvernance de la « Communauté Mission de France ». Elle sera associée  à l’accompagnement et à la visite des équipes de mission, à la communication et la rédaction d’articles, à la coordination des services de la Prélature. Cette disposition nouvelle pour la gouvernance est adoptée pour trois ans, à titre expérimental. La transformation du monde du travail, et notamment la révolution numérique qui bouleverse totalement l’économie de nos pays occidentaux, transforme aussi le rôle de la Mission de France, confrontée à de nouveaux environnements professionnels. Le « continent numérique » est considéré par Mgr Giraud comme un véritable territoire de mission dans lequel l’Église doit s’investir.
Le père Arnaud Favart, ancien conducteur d’engins de chantier et vicaire général de la Mission de France, nous explique les transformations en cours, notamment à travers cette plus grande intégration des laïcs dans les statuts de la Mission de France.

Pour écouter l’entretien >>> 

24/08/2018

CMDF - DES PRÊTRES LA OU ON NE LES ATTENDS PAS

 

 

NOUVEAU !

Jean-Marc est facteur, Frédéric maçon, Guillaume informaticien, Jean-Christophe maraîcher, Bruno cariste dans un grand entrepôt...

La journaliste Chantal Joly a rencontré une quinzaine de ces prêtres de la Mission de France qui ont choisi de servir Dieu en travaillant. Ils lui ont confié sans détours les raisons de ce choix de vie si original. Comment concilient-ils leurs agendas professionnel et pastoral ? Comment vivent-ils leur célibat dans une vie sociale dense ? Comment coopèrent-ils avec leurs collègues curés de paroisses ? Cette enquête captivante répond à toutes ces questions. Elle dévoile aussi un profil de prêtre ignoré. Enfin, elle incarne le rêve du pape François : celui d’une Église présente dans les périphéries.

Chantal Joly est journaliste indépendante. Elle a travaillé dans le groupe de presse Bayard et à ATD Quart Monde. Membre de l’association Dom Helder Camara, elle a consacré à ce dernier une biographie remarquée, L’empreinte d’un prophète, parue en 2010 chez Desclée de Brouwer, dans la collection « Petite vie ». Elle est l’auteur chez Salvator, en 2015, de Oscar Romero, martyr de la cause des pauvres.

Chantal Joly ; préface de Mgr Georges Pontier - Editions SALVATOR

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Sur RCF le mercredi 5 septembre
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23/08/2018

MISSION DE FRANCE - PAPE FRANCOIS - LETTRE AU PEUPLE DE DIEU

Si un membre souffre, tous les membres souffrent avec lui (1 Cor 12-26)

Ces paroles de saint Paul résonnent avec force en mon cœur alors que je constate, une fois encore, la souffrance vécue par de nombreux mineurs à cause d’abus sexuels, d’abus de pouvoir et de conscience, commis par un nombre important de clercs et de personnes consacrées. Un crime qui génère de profondes blessures faites de douleur et d’impuissance, en premier lieu chez les victimes, mais aussi chez leurs proches et dans toute la communauté, qu’elle soit composée de croyants ou d’incroyants. Considérant le passé, ce que l’on peut faire pour demander pardon et réparation du dommage causé ne sera jamais suffisant. Considérant l’avenir, rien ne doit être négligé pour promouvoir une culture capable non seulement de faire en sorte que de telles situations ne se reproduisent pas mais encore que celles-ci ne puissent trouver de terrains propices pour être dissimulées et perpétuées. La douleur des victimes et de leurs familles est aussi notre douleur ; pour cette raison, il est urgent de réaffirmer une fois encore notre engagement pour garantir la protection des mineurs et des adultes vulnérables.

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clic sur photo pour lire la lettre du Pape