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11/02/2021

RELIGIONS ET PRINCIPES REPUBLICAINS

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Religions et principes républicains

En rupture ou dans l’esprit de la loi de 1905 ? Big bang législatif périlleux ou simple changement cosmétique ? La loi dite « contre les séparatismes », malgré des pistes intéressantes, suscite bien des opinions tranchées.

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En réalité, l’intitulé complexe de la loi cache ce que l’exposé de ses motifs désigne plus clairement : « Un entrisme communautariste, insidieux mais puissant, gangrène lentement les fondements de notre société dans certains territoires. Cet entrisme est pour l’essentiel d’inspiration islamiste. Il est la manifestation d’un projet politique conscient, théorisé, politico-religieux, dont l’ambition est de faire prévaloir des normes religieuses sur la loi commune que nous nous sommes librement donnée. Il enclenche une dynamique séparatiste qui vise à la division. » Il s’agit bien de ce fameux « séparatisme » que le président Macron évoquait dans son discours des Mureaux du 2 octobre 2020.

Notons qu’à l’époque le mot était au pluriel : il s’agissait de lutter contre « les » séparatismes. Mais, dans la bouche du Président, il repassait déjà vite au singulier : « Ce à quoi nous devons nous attaquer, c’est le séparatisme islamiste. C’est un projet conscient, théorisé, politico-religieux, qui se concrétise par des écarts répétés avec les valeurs de la République. » L’exposé des motifs du projet de loi reprend des termes proches mais repasse au pluriel : « Face à l’islamisme radical, face à tous les séparatismes, force est de constater que notre arsenal juridique est insuffisant. » Il faut dire qu’entre le discours d’octobre et ce projet de loi s’est produit le drame de l’assassinat du professeur Samuel Paty, comme une tragique illustration de ce que la présentation du texte de loi appelle « l’idéologie séparatiste » qui « a fait le terreau des principaux drames qui ont endeuillé notre communauté nationale ces dernières années ».

Reste la volonté de faire un texte qui permettrait de lutter contre un « séparatisme » mot absent des termes de la loi et qui ne viserait ni l’« islam » ni les « musulmans », mots qui n’y figurent pas non plus. Il n’y est en effet question que de « religions » et de « cultes ». Et c’est là que le bât blesse. Les instances religieuses protestantes, catholiques et juives protestent contre les modifications que la loi introduit dans les usages actuels, en particulier sur les modalités de contrôle des associations et tout particulièrement des associations cultuelles. Il est vrai que la loi de 1905, devenue aujourd’hui plus sacrée que le Décalogue, avait instauré, en son article 4, une « police des cultes », mais celle-ci ne s’était guère exercée. Si la loi de 1905 édicte l’interdiction de tenir des réunions politiques dans les temples et églises, elle s’abstient de se prononcer en quoi que ce soit sur ce qui y est dit, sauf en cas de diffamation explicite et affichée. Or, voilà que la nouvelle loi impose aux associations recevant des subventions ou éditant des reçus fiscaux une série de vérifications liées à cette fameuse « conformité aux principes de la République » ainsi qu’à la transparence des financements, en particulier de ceux qui proviennent de l’étranger.

La loi est-elle pour autant « liberticide » ? ­Permet-elle à l’État d’exercer un contrôle indu sur les religions en contravention avec le compromis libéral de 1905 ? Outre les responsables des cultes, des spécialistes de l’histoire de la ­laïcité comme Philippe Portier ou Valentine Zuber le soutiennent. Mais, sous couvert de liberté de conscience religieuse, jusqu’où peut-on s’écarter de la loi ? Sans même songer à l’islam, peut-on permettre, que, pour des motifs religieux, on organise des stages pour « réparer l’identité blessée » des homosexuels comme le font certaines officines catholiques et évangéliques dénoncées par les associations de défense des personnes LGBT+ ?

Demeure l’argument de « l’arsenal juridique insuffisant ». Faut-il une loi avec un tel intitulé pour étendre le principe de neutralité aux délégataires d’une mission de service public, vérifier le consentement des époux lors d’un mariage ou contrôler les objectifs et le financement d’associations subventionnées ? Poser la question, c’est y répondre. Avec cette loi, le pouvoir « fait de la politique » et il n’est pas sûr qu’elle soit bonne. Dénoncée par presque tous pour une raison ou son contraire, elle risque fort de diviser plus que d’unir.

https://www.temoignagechretien.fr/religions-et-principes-republicains/

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08/02/2021

JOYEUX COMME LES DES ENFANTS PAR TEMPS DE COVID

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Centre pastoral Saint-Merry / L'évangile dans la ville

J’ai le privilège d’habiter à proximité d’une école primaire. Il m’est donc donné d’entendre chaque matin, l’arrivée des enfants de même que leur départ en fin de chaque après-midi. Et naturellement, de les entendre aussi lorsque vient le temps des récréations. S’il vous est arrivé d’en faire l’expérience, vous l’aurez constaté : loin de toute forme de morosité, ce ne sont que des cris joyeux, des cris de vie, des cris de jeux. Jamais je n’avais réalisé à ce point combien les enfants – en tout cas, les plus jeunes – sont heureux de se rendre à l’école, de retrouver leurs copains, de jouer avec eux et sans doute parfois, bien sûr, de se chamailler. 

Lorsqu’est arrivée la fin du premier confinement, ma petite-fille de 4 ans est revenue le soir de son école maternelle, en déclarant à ses parents:« C’est le plus beau jour de ma vie »!

Merci les enfants ! Pour une fois, c’est vous qui nous faites la leçon en nous invitant à ne pas céder à la morosité ambiante. D’ailleurs, si vous vous sentez un peu en déprime du fait des contraintes que nous impose ce fichu virus, allez donc assister à la sortie des enfants d’une école maternelle : vous pouvez être assurés que vous vous sentirez mieux !

Bruno G. Billet du dimanche 7 février 2021

 

29/01/2021

UNE MOSQUEE A BOBIGNY

La grande mosquée de Bobigny, située rues de Anastasio Gomes et de la Bergère, est ouverte depuis lundi 25 janvier 2021.

Vivons en pleine fraternité avec nos frères et sœurs d’autres religions.

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Lire ... LA MOSQUEE DE BOBIGNY.pdf.

25/01/2021

VACCIN. UN BIEN COMMUN MONDIAL

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Vaccin. Un bien commun mondial

En 1953, Jonas Salk, l’inventeur du vaccin contre la poliomyélite renonça au brevet et à la somme faramineuse de sept milliards de dollars, car on ne peut pas « breveter le soleil ».
Le Bien commun l’emporta alors sur la course au profit. Face au Coronavirus nous assistons aujourd’hui à une tout autre histoire. Résultat : les Pays pauvres sont oubliés
.
 

  L’édito de Guy Aurenche 25 01.2021 (site du centre pastoral SAINT MERRY)

 Sept milliards de dollars !
Un homme a renoncé à cette somme : Jonas Salk qui en 1953 inventa le vaccin contre la poliomyélite. Sa découverte fut très efficace. Il aurait pu en tirer beaucoup d’argent, mais renonça à la faire breveter « pour la laisser plus abordable aux millions de personnes en ayant besoin ». Lorsque la télévision lui demanda qui détenait le brevet, il répondit : « Le peuple. Il n’y a pas de brevet. Pourrait-on breveter le soleil ? » L’intérêt commun l’avait emporté sur le gain personnel. 
Aujourd’hui, l’on assiste à la course aux profits faramineux que les divers vaccins anti-covid procureront à leurs auteurs « brevetés ». Sans supprimer les brevets ni la concurrence féconde entre les chercheurs ; sans demander aux laboratoires de travailler gratis, la communauté mondiale aurait pu tenter de trouver une solution novatrice à un problème de justice universelle !

Le Bien commun

Qui aujourd’hui s’intéresse au Bien commun, « cet ensemble de conditions sociales qui permettent, tant aux groupes qu’à chacun de leurs membres, d’atteindre leur perfection d’une façon plus totale et plus aisée… Tout groupe doit tenir compte des besoins et des légitimes aspirations des autres groupes et plus encore du Bien commun de l’ensemble de la famille humaine » (Concile Vatican II, L’Église dans le monde de ce temps).
Le pape François, le 25 décembre croyait-il au père Noël ? « Je demande à tous : aux responsables des états, des entreprises, aux organismes internationaux, de promouvoir la coopération et non la concurrence et de chercher une solution pour tous : des vaccins pour tous, spécialement pour les plus vulnérables et les plus nécessiteux de toutes les régions de la planète ».

Destination universelle des biens

La pensée sociale de l’Église, inspirée par la foi chrétienne, élaborée à travers les siècles, propose des principes d’organisation sociale, dont la « destination universelle des biens ». Les biens communs mondiaux sont des réalités dont l’usage est indispensable à tous les êtres humains et dont la pérennité dépend de tous. 
L’air pur est un bien commun. La récente décision britannique condamnant la ville de Londres suite au décès d’une jeune fille asphyxiée par la pollution urbaine, montre bien le besoin commun de l’air pur et la responsabilité commune vis-à-vis de la pollution. Oui, la santé est un bien commun ! 

Et le vaccin dans tout cela ?

Le vaccin, sans doute une belle victoire scientifique, aurait dû être considéré comme l’un de ces biens communs mondiaux. Il intéresse la population mondiale. Il ne sera pleinement efficace que si tout le monde en bénéficie. Il dépend des efforts de tous. Pour reconnaître et développer un bien commun mondial, il ne suffit pas d’un discours ; il conviendrait de bousculer bien des pratiques : le modèle économique dominé par la recherche du profit maximal, la rivalité violente entre les états, le peu d’engagements pour des pratiques multilatérales. Une réglementation et des institutions s’imposent. L’OMS (1) a créé des réseaux pour réunir des fonds, assurer la coopération dans la recherche et la diffusion du vaccin, et permettre une distribution égalitaire à travers le monde. Tentative intéressante mais qui n’atteint pas son but. 

Un espoir mort-né 

« Évoquer un bien public mondial global, un vaccin des peuples, comme le fait le secrétaire général des Nations Unies » relève de la fiction. (Oxfam, Le Monde 11/12/2020).
Le vaccin, « bien public mondial », est mort-né. D’autres forces et intérêts l’ont emporté sur ce qui aurait pu constituer l’un des gestes solidaires mondialisés les plus significatifs des dernières décennies. 
Le vaccin, censé être un bien commun mondial pour des raisons humanitaires évidentes, se révèle un redoutable outil de guerre économique, diplomatique et d’influence, sans oublier la quête d’argent. Chaque pays s’est précipité pour être le premier soit à le produire, soit à le distribuer. Les autorités (particulièrement chinoises) ont utilisé le vaccin comme un moyen pour « racheter » leurs erreurs lors des débuts de la pandémie, ou pour étendre leur influence diplomatique et économique. 

Le résultat est là : les pauvres sont oubliés : « Vaccination : les pays pauvres attendront ! Malgré les promesses, les pays du Sud pourraient ne recevoir les vaccins que dans un délai de deux ans, voire plus » (La Croix 30/12/020).

21/01/2021

TENIR !

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                                         TENIR !

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Serrer les dents, se serrer les coudes et tenir bon ; malgré la menace du variant anglais, malgré les hoquets de la campagne de vaccination – il suffit de lire la presse étrangère pour constater que nulle part cela n’est suffisamment fluide, ni suffisamment rapide.

Tenir malgré ce couvre-feu à 18 heures qui sonne comme une punition pour pensionnaires turbulents, tenir malgré la menace d’un troisième confinement suspendue au-dessus de nos têtes comme une épée de Damoclès.

Que la saison est longue de ce virus qui n’en finit pas, que les soirées sont sombres en ce triste hiver où il nous reste à lire au coin du feu, écumer les vieilles séries télévisées, réécouter des disques trop aimés, deviser avec ceux et celles qui partagent notre toit et, surtout, éviter les chaînes d’information continue, qui déversent leur flot de polémiques suscitées de toutes pièces, de débats entre experts autoproclamés et fugitives gloires de plateau, vite usés, vite renouvelés.

Plus que jamais, il nous faut découvrir au fond de nous-même les sources de la sagesse. Résister aujourd’hui, c’est trouver ou retrouver la patience, et même la bienveillance à l’égard de nous-même et d’autrui. Il nous faut cultiver une forme de détachement, de quasi-nonchalance afin d’échapper à la mélancolie et à la dépression.

Les professionnels du psychisme nous alertent, comme la Bible : « Il n’est pas bon que l’homme – l’humain – soit seul. » Nous manquons de contacts, de chaleur humaine et nous faisons le constat que, même avec la plus grande force d’âme, nous sommes aussi des mammifères. Nous aimons les caresses, les embrassades, les empoignades. En être privés, c’est risquer d’être moins humains. Nous ne sommes pas que de la pensée, de la volonté, de l’intelligence, nous sommes aussi notre corps, et c’est avec ce corps que nous rencontrons le monde.

Il nous reste à cueillir et à partager les petits riens qui réchauffent, les clins d’œil par-dessus un masque, le sourire des yeux, la beauté d’une aube ou celle d’un couchant.

Pour tenir, nous allons inaugurer une rubrique de bonnes nouvelles à partager. Vous pouvez participer en nous les envoyant par courrier ou courriel. Nous les publierons sur le papier ou sur le site.

Sursum corda !  

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Témoignage Chrétien

Christine PEDOTTI 

08/01/2021

QUELQUES NOUVELLES DE CASABLANCA -ARNAUD DE BOISSIEU - PRÊTRE DE LA MISSION DE FRANCE - CASABLANCA , MAROC.

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Noël 2020, Casablanca Maroc

 Amies, amis,

 Honneur aux marins : ils ont tenu. Nous le savons : la pandémie qui nous limite et nous confine a grippé de très nombreux rouages de l’économie mondiale. Cependant les marins, eux qui assurent 90 % du transport du commerce mondial, ont continué à travailler, vaille que vaille et coûte que coûte, permettant ainsi à l’économie mondiale de survivre. Bien sûr, ils ne s’y connaissent que trop, en confinement, puisque c’est leur lot habituel, des mois et des mois chaque année. Les marins, ces aguerris du confinement… Poussé-je trop loin le bouchon en suggérant que plus de trois milliards de femmes et d’hommes dans le monde, confinés pendant quelques mois, ont soudain goûté, bien involontairement, à la vie confinée des marins ? Sauf que… sauf que, quand nous étions confinés à domicile, chez nous, les marins, eux, sont confinés, enfermés, bloqués des mois et des mois sur leur lieux de travail, sur leurs bateaux. Au plus fort de la crise, on estime que 400 000 d’entre eux de par le monde, arrivés en fin de contrat, ne pouvaient pas repartir chez eux : frontières fermées, aéroports itou, ils ont été condamnés au travail, bien au-delà de la fin de leur contrat, sans pouvoir quitter leurs navires.

J’ai fait la connaissance de Louwell en novembre 2018 – une époque d’insouciance – quand son navire a fait plusieurs escales à Casablanca. Puis, en mars de cette année, embarqué sur un autre navire de la même compagnie, il est passé à Algésiras, le ...... VOEUX 2021 ARNAUD DE BOISSIEU PRÊTRE DE LA MISSION DE FRANCE A CASABLANCA(MAROC).pdf

CHRETIEN SANS LE SAVOIR

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Peut-on considérer une personne qui fait le bien comme un « chrétien anonyme »  ??   L’expression du théologien Karl Rahner ouvre le débat sur la mission de l’Église.

« Hors de l’Église, point de salut », soutenait de sa plume l’évêque saint Cyprien sous l’Empire romain pour ériger la religion chrétienne en vérité exclusive. Au fil des siècles, l’adage s’est largement effacé du discours catholique, tandis que les frontières du monde se sont élargies et que d’autres réalités culturelles sont apparues, jusqu’à ce que l’Église opère finalement une grande réforme et s’ouvre de manière inédite aux autres religions. Nous sommes alors en plein concile Vatican II, pour lequel évêques et experts du monde entier sont rassemblés pour penser la foi catholique du XXIe siècle. Parmi les théologiens du Concile, le prêtre allemand Karl Rahner émet la thèse des « chrétiens anonymes ».

Le jésuite avance que tous les êtres humains menant une vie honnête, vertueuse, font inconsciemment acte de foi. À ses yeux, ils sont donc des « chrétiens qui ne savent pas exactement ce qu’ils sont », et obtiendront le salut. Car l’Église contemporaine se situe sur une périlleuse ligne de crête : comment peut-elle devenir plus universelle, ouverte et tolérante vis-à-vis des autres croyances, et affirmer malgré tout l’importance de l’évangélisation, et la vérité de la parole du Christ ?

Lire ... chrétiens sans le savoir LA CROIX 8 2021.pdf

HUMOUR -IL NEIGE EN HIVER - LE BILLET D'ALAIN REMOND -

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Débats /billet

Il neige en hiver

Alain Rémond

Les journaux télévisés viennent de découvrir avec stupéfaction un phénomène inouï : il neige en hiver. La neige est ce truc blanc qui tombe sur les champs, sur les routes, sur les autoroutes, sur les villes, sur les villages, partout. C’est insensé. En plus, il s’avère que, sur la neige, les voitures glissent, dérapent, peuvent même faire ce qu’on appelle un tête-à-queue. C’est dingue. Heureusement, l’homme, dans son génie, a su concevoir cette invention qui fait honneur à la civilisation : les chaînes. C’est ce que découvrent, tout excités, pour ne pas dire bouleverser, les envoyés spéciaux qui, du coup, filment avec enthousiasme et dans ses moindres détails cette délicate opération, qui consiste à enrouler la chaîne autour de la roue, pour qu’on comprenne bien la portée de la chose, pendant que la neige continue de tomber, vu qu’apparemment c’est tout ce qu’elle sait faire. Soit, pour un seul journal télévisé, trois révélations pour le prix d’une. Premièrement : il neige en hiver et la neige tombe de haut en bas. Deuxièmement : sur la neige, les voitures peuvent glisser et déraper. Troisièmement : pour ne pas glisser et déraper, il convient de mettre des chaînes autour des roues. C’est tout bonnement stupéfiant. Quelque chose, pourtant, me tracasse. Je me demande si l’année dernière (et peut-être même les années d’avant) la télévision ne nous avait pas déjà raconté tout ça. Mais je dois me tromper. Ça se saurait, tout de même.

Journal LA CROIX 6/01/2021

31/12/2020

VOEUX 2021- MDFBOB

L'équipe du blog MDFBOB vous souhaite une bonne année 2021

 CLIC...voeux equipe cmdf bob.pd

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29/12/2020

JEAN-PAUL HAVARD, PRÊTRE ET AGRICULTEUR

Journal de FRANCE 2  - face à l'objectif (clic sur photo)

JP HAVARD.GIFJean-Paul Havard est prêtre de la MISSION DE FRANCE ET AGRICULTEUR